1. DES CHANTIERS
Rendre service,
être utile à des associations
Savoir plus
2. DES RENCONTRES
Dialoguer avec des témoins sensibles de notre époque
Savoir plus3. DES THEMATIQUES DE SOCIETE
Mieux saisir les enjeux actuels
Savoir plus
4. DE LA CREATIVITE
Exprimer sa personnalité concrètement
Savoir plus5. UNE EXPERIENCE EN GROUPE
Rencontrer et vivre avec d'autres jeunes
Savoir plus
6. REFLECHIR A TON AVENIR
Faire son bilan du projet pour rebondir
Savoir plus
Semaine résidentielle à la ferme du Hayon
Semaine résidentielle à la ferme du Hayon
Ecrit le dimanche 20 mars 2011 - Catégorie : Les chantiers

Pour la première semaine du projet, la ferme du Hayon près de Virton, à un jet de pierres de la France, nous a accueillis à bras ouverts. C'est que dans une ferme, on a jamais assez de bras pour tout faire. Au programme, nourrir le bétail à l'étable avec Philippe, désherber quelques champs appelés à voir pousser de l'orge dans quelques temps, le maïs à récolter pour les bêtes, contribuer à remettre les machines en état,...
Et comme un coup de main de dernière minute est toujours bon à prendre, Marc, le fondateur du Hayon, revenu des terres avec sa moissonneuse batteuse, nous a proposé en fin de journée de vider les grilles de maïs déjà cueillies à la main pour les jeter dans la gueule de la machine. Celle-ci vide le maïs du trognon et le découpe en grains fins qui pourront nourrir non seulement les vaches mais également cochons et poules.
Grâce au vieux tacot de 1963 remis en marche, c'est 52 heures de travail épargnées. "Une fabuleuse invention de l'homme, cette machine", conclut Marc. Au final, nous avons eu une heure intense de travail avant que le soleil ne se couche. Le sourire de Marc, une fois tout le maïs vidé en grains, ça n'a pas de prix. Malheureusement, à ce moment-là, il n'y a plus de batterie dans l'appareil photo.
On s'est essayé aussi à faire du pain avec Valérie et, cerise sur le gâteau, de la pâte à pizza pour un repas sans couteaux ni fourchettes, sur le pouce, avec de la vraie pâte cuite au feu de bois. Et il paraît que là-bas, c'est comme ça chaque semaine.

Sergio et Valérie aux platines !
Bref, quatre jours, c'est court. Mais ça donne déjà la mesure du plaisir d'en être, de marcher sur ces grandes étendues (la ferme fait 78 hectares), de respirer loin du quotidien de Verviers, de prendre du temps pour être ensemble et mettre les mains dans la réalité d'une ferme.
Un grand merci à Marc, Philippe, Rudolphe, Valérie et tous les autres même si sur la photo ci-dessous, on ne voit que Philippe. Les autres étaient partis bosser.

Le maïs en de bonnes mains
Et comme un coup de main de dernière minute est toujours bon à prendre, Marc, le fondateur du Hayon, revenu des terres avec sa moissonneuse batteuse, nous a proposé en fin de journée de vider les grilles de maïs déjà cueillies à la main pour les jeter dans la gueule de la machine. Celle-ci vide le maïs du trognon et le découpe en grains fins qui pourront nourrir non seulement les vaches mais également cochons et poules.
Grâce au vieux tacot de 1963 remis en marche, c'est 52 heures de travail épargnées. "Une fabuleuse invention de l'homme, cette machine", conclut Marc. Au final, nous avons eu une heure intense de travail avant que le soleil ne se couche. Le sourire de Marc, une fois tout le maïs vidé en grains, ça n'a pas de prix. Malheureusement, à ce moment-là, il n'y a plus de batterie dans l'appareil photo.
On s'est essayé aussi à faire du pain avec Valérie et, cerise sur le gâteau, de la pâte à pizza pour un repas sans couteaux ni fourchettes, sur le pouce, avec de la vraie pâte cuite au feu de bois. Et il paraît que là-bas, c'est comme ça chaque semaine.

Sergio et Valérie aux platines !
Bref, quatre jours, c'est court. Mais ça donne déjà la mesure du plaisir d'en être, de marcher sur ces grandes étendues (la ferme fait 78 hectares), de respirer loin du quotidien de Verviers, de prendre du temps pour être ensemble et mettre les mains dans la réalité d'une ferme.
Un grand merci à Marc, Philippe, Rudolphe, Valérie et tous les autres même si sur la photo ci-dessous, on ne voit que Philippe. Les autres étaient partis bosser.

Et une photo ballon de foot, une.
Page précédente : Le journal de l'ACV 2012
Page suivante : Le journal de l'ACV 2010